Dans ma chambre de la Dunster House, je me suis complètement vautrée sur mon lit, mes livres tout autour de moi. C'est la saison des examens, et je n'ai vraiment pas envie de les rater. Oui je sais, tout le monde me dit que ça ne sera pas le cas vu mon intelligence mais je préfère ne pas les croire. Puis, je ne suis pas prétentieuse en me croyant supérieur aux autres. Je lis mes fiches de note de mes cours, me lance dans quelques exercices mais la tête n'y est pas. Je n'arrive pas à me concentrée sur ce que je suis entrain de faire. Je me lève donc de mon lit, du moins je roule jusqu'au bord puis prend mon portable en main. Allant dans mes messages, je sélection le prénom de Foster puis lui envoie un sms : Coucou toi, je n'arrive pas à réviser, ça te dit une balade ? Rejoins moi au parc dans 30 minutes, bisous. Je sais que Foster répond toujours présent, puis dans le pire des cas, je me promènerai seule. Après une petite quinzaine de minutes, me voilà enfin prête. Prenant mes affaires, je quitte la Dunster House puis me rend jusqu'au parc en bus. Je n'ai pas du tout envie de conduire, du coup, je laisse ma vie entre les mains du chauffeur de bus. Arrivée au parc, je regarde autour de moi. J'avance jusqu'à la fontaine puis, remarque cette silhouette qui m'est si familière. Un sourire aux lèvres, je cours jusqu'à Foster, lui sautant littéralement au cou. Coucou toi ! Merci d'être venu, je lui dis en souriant, relâchant mon étreinte avant de l'étouffer.

Installé confortablement au salon, allongé sur le sofa, j’étais en train de regarder les Bruins échapper un autre match face à ces enculés de Rangers lorsque mon téléphone se mit à sonner. M’en emparant et regardant l’écran je ne fus pas sans sourire lorsque je réalisai qu’il s’agissait de ma chère Alaska. Comment dire ? J’adorais cette petite et puis elle me le rendait si bien, il m’était donc impossible de lui dire non. C’est donc sans la moindre surprise que je répondis favorablement à ce message texte qu’elle m’avait adressé.

Éteignant le téléviseur, je dois admettre que le match ne m’intéressait plus, je me dirigeai vers la salle de bain afin de me rendre un minimum présentable et le temps de m’emparer de mes clés j’enfilai ma veste et je sorti de chez moi afin de me diriger vers notre point de rendez-vous. Demeurant à proximité de l’endroit je décidai donc de laisser ma voiture dans son espace de stationnement et c’est en marchant que je m’y rendis, la température se voulant clémente j’en avais profité pour me délier les muscles.

J’étais probablement en avance puisque la belle ne semblait pas être dans les environs, je restai un moment près de la fontaine et c’est alors qu’un large sourire se dessina sur mes lèvres lorsque je la vis accourir vers moi afin de se jeter à mon cou. Ses bras autour de ma nuque je passai les miens autour de sa taille alors que je lui caressais le bas du dos d’une main remontant l’autre dans ses cheveux. C’est que tu m’as manqué, je n’allais pas rater une telle opportunité de pouvoir te voir. Je lui souris, caressant tendrement ses cheveux , et glisse un bras autour de sa taille.

Je souris en voyant la réponse de Foster, qui répond favorablement à ma proposition. Sur ce, j'essaye de me préparer au plus vite histoire de ne pas être en retard. Quittant ma chambre d'étudiante, je grimpe dans le premier bus qui passe sur le campus, et surtout, qui me mène vers le parc. Je ne met même pas 5 minutes à y arriver, le trajet n'est pas bien long. Quittant le bus, je marche encore quelques minutes avant d'entrer dans le parc. Regardant mon téléphone, je vois que je suis pile à l'heure. Bon, par contre, maintenant il faut que je le trouve.

Je continue donc de marcher, m'approchant de la fontaine. Je le vois enfin, remarquant le beau Foster près de la fontaine. Je me lance alors jusqu'à lui, lui sautant au coup. Mes bras autour de son cou, je le relâche, légèrement gênée. Je sais pas ce qu'il m'a prit, heureuse de le voir certainement. Tu m'as manqué aussi....j'ai pas trop eu de temps pour toi à cause des cours, désolée, je lui répond en haussant les épaules, alors qu'il me relâche. Alors, que me racontes-tu de beau ?, je lui demande tout en lui souriant, son bras passant autour de ma taille. C'est moi ou bien il commence à faire chaud ?. Je me laisse tout de même aller, marchant devant nous pour débuter notre petite balade.

Alaska était une jeune femme dont le charme se voulait des plus irrésistible et je dois admettre que j’y étais particulièrement sensible. Je ne pouvais que me faire une joie de la retrouver c’est donc pourquoi je n’avais pas hésité à saisir l’occasion qui se présentait que je m’empressai de me rendre sur place afin de passer un moment en son agréable compagnie.

La voir me rejoindre près de la fontaine m’avait fait plaisir mais je dois admettre que plus que câlin s’est de pouvoir contempler son magnifique regard qui avait été de nature à me rendre fou de joie. Je sais que nous appartenons à deux mondes différents mais c’est plus fort que moi cette jeune femme j’y tiens plus qu’à quiconque.

Lui souriant, caressant sa joue du bout des doigts, je ne pouvais que l’écouter lorsqu’elle m’exprima ses regrets de ne pas pouvoir me voir davantage. Ne soit pas désolée tu te consacre à tes études afin de te préparer un bel avenir, rien de plus normal. Libérant la belle de mes bras protecteurs je lui fis un de mes petits sourire amusés lorsqu’elle me demanda ce que j’avais de beau à lui raconter. En fait je travaille sur un nouveau contrat, les négociations sont pour le moins ardues. En fait je ne mentais pas , je disais vrai, simplement que je me montrais évasif sur l’objet du contrat et de la nature des biens à exporter.

Foster est l'un des rares hommes avec qui je m'entend bien, et il me fait sentir bien. J'ai des amis hommes bien entendu, mais pas tant que ça et je ne suis pas aussi proche d'eux que je le suis avec Foster. En plus de ça, Foster en fait certainement tomber plus d'une sur son passage. Parfois, je me demande bien ce qu'il me trouve, une geek comme moi. Bref, je l'ai enfin trouvé près de cette fontaine et j'exprime un peu trop ma joie en l'enlaçant. M'enfin, je dois dire que ces caresses me perturbent légèrement. Non pas que je n'aime pas ça, bien au contraire, j'aime beaucoup.

Je m'excuse auprès de l'homme de mon absence, du moins, du peu de temps que je lui ai accordé. Tu pourras m'appeler Docteur Feuerbach et je te ferais mêem un petit prix d'ami, je m'amuse à lui répondre, tout en riant. Tout en marchant, j'enroule mon bras autour du sien, prenant un peu de ses nouvelles. Il me parle de son travail, et d'un nouveau contrat. Oh cool quel genre de contrat ?, je lui demande tout en levant mon regard vers le sien. Oui, je suis curieuse et je sais, c'est un vilain défaut. Hm ça te dis qu'on aille manger un bout après ?, je lui propose en regardant devant moi.

J’étais quelqu’un de purement égoïste et d’opportuniste mais pourtant lorsque je me retrouvais en sa charmante compagnie je me sentais devenir quelqu’un d’autre, rien ne m’importait plus que de la savoir heureuse. Je ressentais cet ardent besoin de vouloir la protéger et je comptais bien m’acquitter de cette mission de laquelle je m’étais investi.

J’aimais ce sens de la répartie qu’elle avait réussi à développer au fil du temps, d’ailleurs je ne tardai pas à éclater de rire lorsqu’elle me dit qu’éventuellement je pourrai l’appeler Docteur et qu’elle me fera un prix d’ami. C’est trop généreux et je compte bien te rappeler ta promesse lorsque le moment se présentera. La discussion bifurqua ensuite de ses plans d’avenir afin d’aborder la gestion de mes affaires. Un contrat du genre qui paie bien mais qui, en contrepartie, demande beaucoup de préparatifs. Je ne me voyais pas lui divulguer les détails de l’entente, elle risquerait de faire les gros yeux. Admirant son regard je lui souris, caressant son visage, lorsqu’elle me proposa de manger un bout avec elle. J’en serais plus que ravi, c’est donc avec plaisir que j’accepte. Je n’allais tout de même pas refuser une aussi charmante invitation.

Il est rare que je sois aussi à l'aise, enfin, je dis toujours autant de connerie mais ça le fait rire. A moins qu'il se moque de moi, mais bon, ça j'en doute. Bras dessus, bras dessous, nous marchons le long du parc. Regardant autour de moi, je vois des enfants jouer dans l'herbe, des étudiants avec des livres, des amoureux se faire des soupes de langues ce qui m'arrache une grimace. Beurk. Jalouse ? Certainement. Oui oh ça va, si tu oublies ce n'est pas bien grave tu sais, je le taquine en pinçant légèrement son avant bras. Je le questionne sur son nouveau contrat, mais il reste vague, n'en divulguant que très peu. D'accord....je vois, je vois !, je lui répond avec un sourire. Je ne veux pas le forcer à développer sur le sujet, si il reste bref, ce n'est pas pour que je lui pose quinze milles questions en retour.

Je l'attire donc plus loin, profitant des rayons du soleil qui chauffe notre peau. J'espère que je vais pas prendre un coup de soleil, ça ne serait pas très sexy. Tout en nous promenant, je lui propose d'allé manger un bout après notre balade. Sa main sur ma joue, je souris à sa réponse. Bien, parce que c'est toi qui invite..., je dis en lui tirant la langue, avant d'ajouter, Je plaisante bien entendu. Tu préfères quoi : Chinois ? Italien ? Sushi ? autre chose qui te fait envie ?. Je ne suis pas la pro de la nourriture, je ne peux donc lui proposer plus mais je suis toute prête à découvrir de nouvelles saveurs, si il veut manger autre chose.

Ce moment en sa charmante, et délicieuse, compagnie je ne pouvais que m’en délecter … pour rien au monde je n’aurais souhaité me retrouver ailleurs qu’auprès d’elle à ce moment bien précis. Marchant en sa compagnie j’échangeais plus d’un regard complice avec elle et c’est alors que j’eus une expression d’étonnement s’esquissant sur mes lèvres. Crois-moi je n’oublie jamais un truc important et tout ce qui te touche revêt une importance capitale à mes yeux alors s’il y a bien un truc que je ne risque pas d’oublier c’est bien celui-là. Je souris à ce qu’elle me fit, j’aimais bien lorsqu’elle me taquinait après tout. Je n’étais pas dupe je pouvais bien percevoir ce soupçon de déception qui se dessinait sur ses lèvres lorsque je me fis avare de détails sur la nature de mes activités. Je suis désolé mais pour le moment je ne peux pas en dire plus. Je suis superstitieux, j’ai peur que le malheur me frappe si je parle de mes projets en cours ou bien que le tout avorte. D’une certaine façon ce que je disais était vrai, je n’aimais parler de truc aussi incertain, et puis je ne me voyais pas lui dire que je comptais procurer des armes à un mec pas net qui tente de renverser son gouvernement.

Sa proposition d’aller manger un truc tombait à point nommé et je dois admettre que la façon dont elle avait abordé le tout avait été de nature à m’amuser. Bien entendu que c’est moi qui t’invite. La voyant me tirer la langue je fis mine de vouloir la lui saisir entre mon pouce et mon index. La cuisine italienne est si savoureuse, je me laisserais bien tenter par une pizza. Pas toi ? J’attendais sa réaction demeurant pendu à ses lèvres.

Je suis touchée par ce qu'il me dit, non vraiment, même si je ne disais ces mots que pour le taquiner. Jte jure que si après ça tu oublie vraiment, je t'étrangle dans la nuit, je m'amuse à lui répondre, en cognant mon épaule contre la sienne. Putain, mais c'est qu'il est bien musclé quand même. Je sais qu'il ne peut pas me dire grande chose sur son boulot, son activité mais bon, j'accepte et ne bronche pas. Bon, je râle par moment car je suis une petite râleuse, mais avec Foster, j'ai apprit à ne pas poser des questions quand je ne peux avoir de réponse en retour. A ses mots, je m'arrête, me plantant devant lui puis lui répond à mon tour, tu n'as pas à te justifier tu sais...je sais que tu ne peux pas tout me dire, tout en lui souriant tendrement, me remettant à son bras pour reprendre notre marche. Je suis tout de même contente, puisqu'il a accepté de venir manger un bout avec moi. Je lui liste plusieurs choix, voir même si il a une idée, puis il opte pour un petit truc Italien, affirmant qu'il m'invitera. Non, mais je plaisante hein !, je lui répond en riant, me poussant quand il fait semblant de vouloir attraper ma langue. Tu es tenté par la cuisine Italienne ou bien...par une Italienne ?, je lui demande en riant, arrivant à l'autre côté du parc. Vu l'heure, il est bientôt de manger. Nous traversons donc en face, prenant une ruelle qui nous mène vers les restaurants du quartier.

J’eu un léger, et subtil, sourire lorsqu’elle me dit qu’elle risquait fort de m’étrangler si jamais ne je me permettais un tel oubli. Je dois admettre que j’aimais bien la voir jouer la carte de la menace. J’adore les sévices physiques. Je ricanais devant l’ampleur de ma connerie. Cependant utilise de la crème à main, serait dommage que tu abîmes ta peau en tentant de m’étrangler. J’étais tellement cynique par moment et je venais de le démontrer par cette réponse de mon cru.

Bien entendu je comprenais sa déception, je me doute qu’elle aimerait en connaître davantage sur mes activités commerciales, mais mon mutisme était avant tout dans son intérêt … je la protégeais tant contre elle-même que contre ceux qui pourraient tenter de l’utiliser pour m’atteindre. Ne sachant rien elle ne risque donc pas de devenir une cible. Je suis tenu par des clauses contractuelles de confidentialité tout comme tu seras tenue par le secret professionnel lorsque tu exerceras. Lui souriant, marchant en sa compagnie, je glissais mes doigts dans ses cheveux.

Je ris lorsqu’elle me dit qu’elle plaisantait, j’en étais conscient mais j’étais un traditionnaliste … c’était au mec de payer lorsqu’il sortait au restaurant avec une jeune femme. Je sais ma belle mais tu me connais j’ai un code de conduite, des valeurs, c’est pourquoi c’est moi qui paie ce soir. Elle voulait me taquiner c’était de bonne guerre après tout j’avais lancer le tout. La cuisine italienne uniquement. Une italienne ? J’aurais trop peur que son père soit un mafieux et qu’il tente de me faire un mauvais parti si jamais sa fille lui raconte que je suis un mauvais coup. Rigolant à ce que je venais de dire, il faut admettre que c’était très con, nous traversâmes la rue et j’ouvris la porte de la pizzéria afin de permettre à la belle d’y entrer en premier.

Non mais, je le menace de le tuer et lui, il me dit en gros de prendre soins de mes mains. Je pouffe de rire, puis lui répond, t'inquiète, j'ai déjà pensé à tout, tout en me frottant les mains, accompagné d'un rire. Ouais, je peux être diabolique quand je m'y met !. Parlant de son boulot, il m'explique pourquoi il ne peut rien me dire et je comprend tout à fait. Bien que bon, j'aimerais en savoir plus mais il a raison, un jour je serais aussi obligée de garder le secret professionnel. Je comprend, t'inquiète pas, je réplique en lui faisant un clin d’œil, appuyant ma tête sur le côté de son épaule.

Nous continuons notre balade, nous dirigeant en dehors du parc pour se trouver une Pizzeria. Car oui, nous avons faim et il a accepté de manger un bout avec moi. Je le taquine donc sur le fait qu'il m'invite pour rire, sauf que ouais, j'avais oublié qu'il a des valeurs ce petit. Mais...roooooo....d'accord !, je râle en levant les yeux au ciel. Je te remercierai à ma façon va, j'ajoute en haussant les épaules, petit sourire en coin. Je continue de le taquiner, riant à sa réponse. Toi ? Un mauvais coup ?, je lui demande en riant. Ouais enfin, non pas que j'en doute, ou que je connais quoique ce soit à ces moments de folies au lit. Nous rentrons enfin dans la pizzeria, où je demande une table pour deux. Le serveur nous mène dans une petite table en coin, puis nous donnes nos cartes. Merciiiiii, je dis au serveur, sautillant presque sur ma chaise. Quoi, j'aime la nourriture et alors ?.

C’était plus fort que moi je n’avais pas su m’empêcher de rigoler lorsqu’elle m’avait menacé, après tout je savais reconnaître lorsqu’une menace m’était faites à la blague, et puis on m’en avait tellement fait par le passé que je ne les prenais plus trop au sérieux.

Évidemment j’aurais préféré pouvoir répondre aux diverses interrogations qu’elle pouvait avoir en lien avec mon travail, d’ailleurs l’intérêt qu’elle me portait me touchait, mais vu la nature pour le moins illicite de mes activités j’étais d’avis qu’il valait mieux ne rien lui dire … c’était plus sage. Lui souriant, continuant notre balade je laissais mon bras autour de sa taille et puis nous finîmes par arriver à destination.

Étant un gentleman il était hors de question que je laisse Alaska payer. Je te fais confiance. C’est en ces quelques mots que je lui répondis lorsqu’elle me dit qu’elle allait bien trouver une façon de me remercier, je n’en doutais pas le moins du monde. Sa remarque quant à ma préférence ne fut pas sans me faire sourire mais ce qu’elle me répondit par la suite me fit rire aux éclats. C’est gentil de flatter mon égo comme tu le fais. Une fois à l’intérieur je laissai le serveur nous attribuer une table et je pris place avec la belle brune. Je suis ravi de passer ce moment en ta compagnie.

J'aime bien le taquiner, l'emmerder par moment. Il me fait facilement rire, et ça fait du bien d'être entouré par des personnes qui ont un comportement d'adultes et pas d'étudiants attardés. En plus de ça, Foster est un homme qui met facilement les gens en confiance du moins, c'est mon cas à moi. Par contre, il reste tout de même vague, mystérieux même sur son travail. Il m'en parle, mais ne développe jamais le sujet. Bon, c'est pas grave, je ne vais pas le forcer. J'ai bien trop faim pour ça. Son bras autour de ma taille, ma tête contre son épaule, nous entrons enfin dans notre petit restaurant, où le serveur nous guide jusqu'à notre table. Foster compte m'inviter du coup, je lui répond que je le remercierai à ma façon. Faut juste qu'une idée me vienne par contre, dis-je en grimaçant car ouais, je sais pas comment le remercier. Il n'est pas geek, donc il se moquera certainement si je lui offre un jeu vidéo. Je ne flatte rien du tout ! Je ne sais même pas ce que tu vaux au lit !, je réplique directement pour me défendre, bien qu'en soit, je m'enfonce de plus en place. BREF, oublie ce que je viens de dire, j'ajoute en agitant mes mains devant moi. A table, Foster me fait sourire, en disant qu'il est heureux de passer un moment en ma compagne. Oh...j-je...suis contente que tu ai accepté....tu vas prendre quoi ?, je lui demande en me cachant sous la carte du restaurant, cachant mon visage probablement rouge comme une tomate.